Dans le cadre de la 42e édition des Journées sportives et socioculturelles de l’Union de la Jeunesse Koutolaise (UJK), le programme a prévu des compétitions de cyclisme féminin, un cross populaire, un concours littéraire, de dictée, de culture générale et d’éloquence remportés respectivement par Koné Tchenourougo, Adama Dembélé, Koné Chimmela, Koné Tima, les enfants du quartier Bangoni de Kouto et Koné Hénoch.
Par ailleurs, un match de football a opposé des sections scolaires et universitaires de l’UJK marquant l’ouverture du tournoi de cette discipline inscrite au programme de ces journées. Ces activités socio-culturelles permettent aussi d’éveiller des talents chez les jeunes. Il a exhorté la jeunesse de Kouto, à l’orée de l’élection des conseillers municipaux et régionaux du 2 septembre 2023, à l’union et à la cohésion, avant de partager sa résilience dans son parcours pour afficher aujourd’hui ce succès patent dans le monde des affaires.
Victor Koné, le président de l’UJK, s’est appesanti sur les critères qui ont milité dans le choix de M. Coulibaly pour accompagner l’organisation dans la mise en œuvre de ces activités de vacances, déclarant qu’il est un modèle inspirant pour la jeunesse.
Figure bien connue du secteur de l’immobilier, Yamoussa Coulibaly aime partager ses expériences avec les jeunes pour hisser leurs ambitions à atteindre des échelons, au sommet de leurs arts et talents. Victor Koné confie qu’aujourd’hui, de nombreux jeunes à Kouto veulent lui « ressembler ». Philanthrope et sollicité pour ses largesses, Yamoussa Coulibaly s’est réjoui pour la confiance placée en lui par ses filleuls. Son action, soulignera-t-il, entre dans le cadre de l’aspiration de son entreprise qui se veut une entité citoyenne.
« Nous sommes là pour que les jeunes de Kouto se retrouvent et communient ensemble à travers les activités de ces journées », a-t-il lancé. Et d’ajouter que son ambition est d’embarquer les jeunes dans la dynamique de paix et de cohésion sociale prônée par le président de la République.
« Nous voulons une jeunesse unie et indivisible à Kouto. On ne doit plus parler de Dioula, de Sénoufo ni de forgerons (…). Notre génération n’a pas réussi à maintenir l’unité transmise par nos parents. Mais, j’ai foi que la vôtre fera l’union de Kouto. Nous serons toujours là pour vous accompagner », a-t-il dit.